👉 _Dans un Bénin en austérité apparente certes, mais en plein chantier, il est inadmissible que des esprits malins jouent à désinformer sur des sujets aussi sensibles qu’ils ne maîtrisent pas_
👉 _Le Dg Francis Tchékpo est bien droit dans ses bottes et plus que jamais déterminé à porter haut, la dynamique de l’Aberme pour le profit des populations déshéritées_
Alerte ! Les démons de l’intoxication sont passés à autre cible: Francis Tchékpo, Directeur général de l’Agence béninoise d’électrification rurale et de maîtrise d’énergie ( Aberme). L’homme qui jusque-là est crédité d’une gestion honorable à la tête de cette structure qui est en liaison avec la Sbee, essuie depuis quelques temps dans certaines presses et sur les réseaux sociaux, des attaques nourries d’intoxications et de haines. Morceau choisi: Une supposée mauvaise gestion des entrepôts de matériels de l’Aberme. Sur la question, nous avons investigué et à y voir de près, il ne s’agit que d’un montage grotesque sur fond d’affabulations dans le seul but de nuire à un honnête cadre qui a choisi de miser sur la rigueur et la bonne gouvernance afin de rester en phase avec la vision du chef de l’Etat en matière d’électrification rurale.
En effet, les affabulateurs dans leurs imaginations dignes d’esprits faibles, parlent pêle-mêle de « mauvaise gestion « , de plusieurs milliards de gâchis, de mauvaise foi et de matériels abandonnés aux intempéries, sans prendre le soin de préciser que les faits allégués se rapportent à un seul sur les nombreux magasins de la structure.
En réalités, deux préoccupations taraudent l’esprit: primo, que vient chercher l’expression » mauvaise gestion » dans une histoire de magasin de matériels usagers, obsolètes dans un quartier totalement submergé par l’eau des dernières pluies? Parlant justement de pluies, nul n’ignore en effet la facture salée à laquelle les populations de Cotonou sont astreintes depuis quelques semaines. Et aucune habitation, encore moins aucun quartier de la capitale économique, ne peut se targuer de s’y soustraire, en tout cas pour l’instant. C’est donc dans l’ordre normale des choses que le liquide devenu vicieux s’invite dans ce magasin de Godomey où par précaution, l’équipe du Dg Francis Tchékpo avait déjà anticipé en mettant au sol les matériels usagers récupérés d’autes sites, avant de mettre les plus utiles en hauteur. Mieux, les matériels stockés dans ce magasins, du moins pour ce qui reste encore utilisable, n’atteignent pas le milliards contrairement aux allégations et ne sont sensibles ni à l’eau, ni au soleil. La belle preuve en est que lorsqu’ils sont installés, c’est bien sous ces intempéries qu’ils fonctionnent à plein régime. C’est dire donc qu’aucun dégât n’est à craindre.
Deusio, pourquoi les auteurs des affabulations n’ont pas cru devoir parler des mesures diligentes prises par le Dg Aberme et son équipe pour faire évacuer l’eau du magasin? C’est bien là, la preuve manifeste de leur mauvaise foi. Car les images et les vidéos diffusées sur les réseaux sociaux ont bel et bien été prises lors de l’opération de pompage d’eau qui continue encore, malgré la réaction explosive mais légitime des populations avec qui des amenagements ont été trouvés grâce au management du Dg Francis Tchékpo, pour évacuer directement l’eau dans les grands égouts.
Il est donc clair que les motivations des pseudo-dénonciateurs n’ont rien à voir avec une veille pour la promotion de la bonne gouvernance, mais une manœuvre bestiale pour nuire à un paisible cadre qui n’a que seul but d’agir efficacement à remplir le cahier de charge à lui confier. Nous pensons bien que les auteurs de cette sale besogne de diffamations doivent aller chercher leur cible ailleurs. Le Dg Francis Tchékpo est bien droit dans ses bottes. Son seul souci, c’est de continuer à porte haut la dynamique de l’Aberme, cette structure bien connue pour ses nombreuses prouesses dans le domaine quoique périlleux de l’électrification rurale.
Dans un Bénin en austérité apparente certes, mais en plein chantier, il est inadmissible que des citoyens jouent à désinformer sur des sujets aussi sensibles qu’ils ne maîtrisent pas.
©BÉNIN MÉDIAS